TÉMOIGNAGES DE JEUNES REPORTERS

YOUSSOUPHA MINE, COORDONNATEUR DE LA RÉDACTION DE VOX POPULI

« La CJRS est une bouée de sauvetage qui m’a permis d’avoir une meilleure formation en journalisme »

Grâce aux bourses de la CJRS, l’actuel coordonnateur de la rédaction de « Vox Pop » que l’on ne présente plus dans le milieu de la presse a pu obtenir son diplôme de journaliste ; ce qui lui a été d’un grand apport dans sa carrière. Il témoigne.

Passionné des médias, Youssoupha Mine, actuel coordonnateur du quotidien d’informations générales « Vox Pop » a embrassé le journalisme alors qu’il n’avait aucun diplôme en la matière. Il apprend ainsi les rudiments de la profession sur le tas. Mais en 2009, M. Mine a bénéficié des bourses d’études que la Convention offre chaque année à des jeunes reporters. Orienté à l’Institut Supérieur des Sciences de l’Information et de la Communication (Issic), l’une des écoles partenaires de la Cjrs, il décroche, au bout de trois 3 ans, sa licence en journalisme option presse écrite.

Cette formation subie dans une école reconnue par l’Etat lui a permis aujourd’hui d’avoir les outils nécessaires pour exercer avec professionnalisme son métier. « Grâce à cette bourse, j’ai connu une évolution fulgurante dans ma carrière journalistique. Après mon stage, j’ai été par la suite recruté par « Le Populaire ». J’ai été quasiment à tous les niveaux de responsabilités au groupe Com 7. Sans cette bourse, je crois que je n’aurais probablement pas eu la chance de glaner toute l’expérience accumulée ni gravir les échelons, en si peu de temps », témoigne Youssoupha Mine.   Ancien Grand reporter et responsable des grands évènements à SENEWEB (2013-2018) ; reporter puis chef de desk société et économie, Coordonnateur de la rédaction à DAKARACTU (2019-2020) puis correspondant dudit site d’informations jusqu’au mois de juillet 2022, M. Mine se sent très reconnaissant à l’endroit de la Cjrs. Ainsi, dira-t-il : « la Cjrs est une bouée de sauvetage qui m’a permis d’avoir une meilleure formation en journalisme. Elle mérite, à ce titre, d’être fortement soutenue et par l’Etat du Sénégal et par toutes les entreprises de presse, mais aussi par l’ensemble des anciens bénéficiaires de bourse d’étude. ». Pour lui, c’est une chance d’avoir une telle organisation qui contribue à la formation des jeunes journalistes.